Le Centre Ville



 Rue de l'ancien Hôpital

     

La place des combattants,
rue Tupinerie 


 

 L'office du tourisme,
dans l'ancien cloître
des Cordeliers, construit en 1282.


 

La place Saint André


  
 
 

 Une maison rénovée rue du Marché


 
 
 

Rue Martin-Bernard

 


 

La Maison des Henrys, ou Maison des Lions.

 

Le passage Sainte-Anne.


 

 Le portail de
l'ancienne caserne de Vaux.


Cette caserne a été démolie en 1980. Le portail du 18ème siècle, classé monument historique, a été conservé.

   

Une partie du fronton du portail


    

 La tourelle d'angle, ou échauguette, conservée elle aussi après la démolition de la caserne. 

 
 

A côté du portail, se trouvait le monument aux Morts, transféré au jardin d'Allard lors de la démolition de la caserne.

   
Au sujet de "l'inauguration manquée" de ce monument en 1920, une anecdote :

   

Au centre du monument aux Morts, figurait le buste d'Emile Reymond, sénateur de la Loire, pionnier de l'aviation, tué au combat le 21 octobre 1914.

La personnalité d'Emile Reymond était telle que le président de la République Paul Deschanel, ami personnel du défunt, avait décidé de venir lui même présider l'inauguration fixée au 20 mai 1920.

   

Mais hélas pour les Montbrisonnais, il ne devait jamais arriver !

       

Le train présidentiel avait pourtant quitté Paris la veille à 21h20.

Mais vers minuit, tout près de Montargis, un garde barrière trouve un homme en pyjama sur la voie. "Je suis le président de la République" dit celui-ci. Le garde barrière ne le croit pas, mais il l'invite malgré tout chez lui pour passer la nuit.

En lui proposant son lit, il se rend compte qu'il s'agit effectivement d'un personnage important : il a les pieds propres !

   

Le président Deschanel était tout simplement tombé du train !

   

Immense déception pour la ville en fête, toute belle pour accueillir le Chef de l'Etat qui lui avait joué un bien mauvais tour ...

Le tout Montbrison était massé place Eugène Beaune où un podium avait été installé pour les officiels et sur lequel le Président Deschanel devait prononcer son discours.

Parmi le public étaient bien entendu présents les enfants des écoles et aussi les bambins de l'école enfantine Notre Dame, avec chacun une rose à la main.

Souvenir, souvenir !

   

Cette aventure qui fit rire toute la France valut à Monbrison une certaine notoriété et mit le nom de la ville dans la chanson populaire composée pour la circonstance.

Cet épisode de la vie du président Deschanel fit aussi la page de couverture du numéro 4030 du 29 mai 1920 du très sérieux journal universel hebdomadaire de l'époque, l'ILLUSTRATION.

 Le Monastère Sainte Claire, ancien Couvent des Capucins (XVIIIème siècle).

     



Les religieuses y sont installées depuis 1821. Auparavant, leur Monastère s'élevait place de la Préfecture. Il avait été fondé en 1497 par Pierre d'Urfé.

Les Clarisses appartiennent à l'Ordre fondé par Sainte Claire d'Assise. Le Pape Innocent IV approuva sa Règle en 1253.




La chapelle du Monastère. 

 







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